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Pour une écologie industrielle

Par Christophe Blavot

9 décembre 2010

S’inspirant de l’impressionnante capacité des systèmes biologiques à transformer les déchets d’un organisme vivant en nourriture pour un autre ou à mettre en place des synergies assurant le développement et la survie des organismes, des chercheurs de General Motors dans les années 1980 ont prôné une approche de l’activité humaine (industrie et consommation), visant à optimiser l’utilisation de matières ou d’énergie au sein d’un même territoire. Conceptualisée par le professeur Suren Erkman dans les années 1990, elle a donné naissance à l’écologie industrielle.

Séance réalisée conjointement par l’Ecole de Paris du Management et l’Institut Veblen. Compte-rendu du débat a été rédigé par Loïc Vieillard-Baron.

S’inspirant de l’impressionnante capacité des systèmes
biologiques à transformer les déchets d’un organisme vivant en
nourriture pour un autre ou à mettre en place des synergies
assurant le développement et la survie des organismes, des
chercheurs de General Motors dans les années 1980 ont prôné
une approche de l’activité humaine (industrie et consommation),
visant à optimiser l’utilisation de matières ou d’énergie au sein
d’un même territoire. Conceptualisée par le professeur Suren Erkman dans les années 1990, elle a donné naissance à l’écologie industrielle.

Christophe Blavot déploie concrètement cette vision dans son activité de conseil, associant les acteurs privés et publics d’un territoire
pour établir une comptabilité des flux et stocks de matières et
d’énergies, et leur faire découvrir des coopérations plus
économes en ressources.

Christophe Blavot est intervenu à la séance commune Ecole de Paris - Institut Veblen, à l’Ecole des mines, le 9 mars 2011.

Compte rendu rédigé par Loïc Vieillard-Baron

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