Les « clauses miroirs », un greenwashing du libre-échange ?
Face aux accords de libre-échange, l’exécutif a trouvé la parade : il veut des « clauses miroirs », défendues de longue date par des ONG. Mais certains s’inquiètent d’un piège tactique, pour rendre plus acceptables ces traités commerciaux.
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EnEn pleine crise agricole, l’exécutif français a joué le même refrain sur tous les tons : non à l’accord commercial entre l’UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay), tant que des « clauses miroirs » n’y seront pas ajoutées. « Nous avons toujours été moteurs sur la réciprocité et les clauses miroirs, et nous les ferons respecter », a lancé le premier ministre Gabriel Attal lors de son discours de politique générale à l’Assemblée le 30 janvier.