Libre-échange : le Ceta, stop ou encore ?

Les « clauses miroirs », un greenwashing du libre-échange ?

Face aux accords de libre-échange, l’exécutif a trouvé la parade : il veut des « clauses miroirs », défendues de longue date par des ONG. Mais certains s’inquiètent d’un piège tactique, pour rendre plus acceptables ces traités commerciaux.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

En pleine crise agricole, l’exécutif français a joué le même refrain sur tous les tons : non à l’accord commercial entre l’UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay), tant que des « clauses miroirs » n’y seront pas ajoutées. « Nous avons toujours été moteurs sur la réciprocité et les clauses miroirs, et nous les ferons respecter », a lancé le premier ministre Gabriel Attal lors de son discours de politique générale à l’Assemblée le 30 janvier.

1€ pour 15 jours

puis 12€/mois

Résiliable en 3 clics

Je m’abonne

Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal