L’écologie, un luxe réservé aux pays riches ? Faux, rétorque Joan Martínez Alier, qui prouve à travers ce livre que justice sociale et préservation de l’environnement, loin de se concurrencer, vont de pair.
À rebours de la croyance selon laquelle il faudrait avoir atteint un certain niveau de confort pour se « permettre » d’être écologiste, l’auteur montre qu’il s’agit souvent d’une question de vie ou de mort pour les plus démunis.